- voir briller les yeux de mes petits garçons quand ils ont revu la mer
- les écouter imaginer mille scénarios en construisant des châteaux de sable
- sauter avec M. dans les vagues en me rappelant la dernière fois que nous avions fait cela ensemble
- l'odeur de L. après son premier bain de mer (oui, j'ai sniffé du bébé !). Sa tête posée sur mon épaule pour regarder l'horizon
- regarder N. ramasser des coquillages et pêcher des poissons avec son épuisette (heureusement qu'on ne comptait pas sur lui pour le repas)
- l'air iodé qui me manque tellement d'une fois à l'autre
- que A. grimpe sur le dos de son papa pour affronter l'eau, un peu froide à son goût
- les "petits plats" combattant avec héroïsme la marée montante pour l'empêcher de détruire leur château
J'ai moins aimé :
- avoir du sable partout. Je n'arrive pas à rester zen en imaginant ces milliards de grains de sable. J'ai frisé la crise d'apoplexie en découvrant l'état de notre voiture à notre retour à la maison...
- que L. mange du sable. Toujours pour les mêmes raisons et, en plus, dans ce cas bien précis, j'imagine le crissement du sable sur ses toutes nouvelles dents ...
- que le parasol s'envole au moindre petit coup de vent. Chaque année, c'est pareil. De vrais touristes
- le départ en catastrophe de la plage à cause d'un orage inattendu
- conséquence de ce qui précède, le retour à la voiture et l'embarquement dans la dite voiture de "petits plats" trempés et couverts de sable
- l'orage de grêle qui s'est abattu sur nous sur la route du retour (de la taille d'une grosse noisette les grêlons)
- le GPS qui nous a envoyé à Pétaouchnok pour soit disant éviter des bouchons et autres accidents (ça conjugué à l'orage de grêle, il nous a fallu deux heures pour rentrer au lieu d'une ...)
- ce chauffeur qui roulait à vivre allure sur une route inondée et qui a noyé son moteur 10 minutes avant d'arriver à la maison (alors que L. criait famine à l'arrière de la voiture)
Un début de vacances en fanfare ! On se réjouit de vivre la suite quoique, si ça pouvait être un poil moins mouvementé, on ne s'en plaindrait pas. Les "petits plats", eux, en redemandent des aventures de ce genre.
Ah oui, c'est super ça, les petits plats ont dû bien s'éclater.
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